Les conseils de l'ostéopathe Thomas

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Thomas TCHURUKDICHIAN exerce en tant qu’ostéopathe dans le 16ème arrondissement de Paris au sein de la Clinique Victor Hugo, du Centre Vitruve, en cabinet privé ainsi qu’à domicile. Vous trouverez ci-dessous ses conseils d'expert. → En savoir plus

Golf Elbow (épicondylite médiale)

Le “Golf Elbow” est une inflammation des tendons à l’intérieur du coude due à des mouvements répétitifs, souvent causés par des sports comme le golf ou d’autres activités qui sollicitent le coude. Voici une fiche de conseils selon un plan en 6 points pour prévenir et soulager cette pathologie.

1. Echauffement adapté

  • Étirements dynamiques : Effectuer des mouvements doux et progressifs du poignet et du coude (flexions, extensions) pour augmenter la circulation sanguine.
  • Cercles de bras : Faites de grands cercles avec les bras pour activer les muscles des épaules, bras et coudes.
  • Échauffement spécifique : Utiliser un club ou un objet léger pour simuler des mouvements de golf en douceur avant d’augmenter l’intensité.
  • Durée : Un échauffement de 10 à 15 minutes est recommandé pour bien préparer les muscles.

2. Renforcement musculaire

  • Exercices de renforcement des avant-bras :
    • Flexion/extension du poignet avec haltères : Asseyez-vous, bras posé sur un support, et utilisez un petit poids pour fléchir et étendre le poignet.
    • Exercices avec élastique : Placer un élastique autour de vos doigts et étirer doucement pour renforcer les muscles de l’avant-bras.
    • Exercices de supination/pronation : Utiliser un marteau ou un objet similaire pour faire des rotations du poignet.
  • Renforcement de l’épaule et du dos : Le renforcement des muscles stabilisateurs de l’épaule (ex. exercices avec bandes élastiques) permet de diminuer la surcharge sur le coude.

3. Posture et techniques

  • Alignement du corps : Assurez-vous que votre posture lors du swing est correcte. Un alignement incorrect du poignet ou de l’avant-bras peut exercer une pression excessive sur le coude.
  • Grip du club : Un grip trop serré peut favoriser le développement de l’épicondylite. Utilisez un grip plus large ou plus souple pour réduire la tension.
  • Posture générale : Travaillez avec un coach pour améliorer vos techniques et vérifier que vos mouvements sont fluides et corrects afin d’éviter les gestes répétitifs mal exécutés.

4. Gestion des entraînements

  • Progression graduelle : Ne pas augmenter brutalement le volume de Une progression trop rapide est un facteur de risque majeur.
  • Variété des mouvements : Alterner les types d’exercices et de mouvements pour éviter de sursolliciter les mêmes tendons et muscles.
  • Périodes de repos : Intégrer des jours de repos et respecter les signes de fatigue ou de douleur pour prévenir l’inflammation.

5. Récupération et étirements

  • Étirements des avant-bras : Après l’effort, étirer doucement les muscles fléchisseurs et extenseurs de l’avant-bras. Ex : Bras tendu devant vous, tirez doucement la main vers vous avec l’autre main, en gardant le bras droit.
  • Auto-massage : Masser légèrement la zone du coude et de l’avant-bras pour détendre les muscles et favoriser la récupération.
  • Application de glace : Si une douleur ou une gêne apparaît après l’entraînement, appliquez de la glace sur la zone douloureuse pendant 10-15 minutes.
  • Hydratation et alimentation : Une bonne hydratation et une alimentation riche en nutriments essentiels contribuent à la réparation des tissus.

6. Traitement préventif chez l’ostéopathe

  • Évaluation de la posture : L’ostéopathe peut identifier des déséquilibres posturaux ou articulaires qui pourraient augmenter le risque de Golf Elbow.
  • Techniques de relâchement : L’ostéopathie peut aider à détendre les muscles et tendons autour du coude et à libérer les tensions accumulées.
  • Corrections globales : L’ostéopathe peut aussi travailler sur d’autres zones (épaule, dos) pour optimiser la mobilité et prévenir les compensations nuisibles au niveau du coude.
  • Prévention à long terme : Une consultation régulière permet de surveiller l’évolution de votre posture et de corriger les éventuelles restrictions avant qu’elles ne deviennent problématiques.
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La répartition des blessures est différente entre joueurs professionnels et joueurs amateurs.

La main et le poignet gauche sont les deux régions les plus atteintes chez les professionnels.

Chez les amateurs c’est dans l’ordre, la région lombaire, le coude, puis la main et le poignet avant l’épaule.

Causes principales de traumatisme chez le joueur amateur sont le manque de technique et le surentraînement au practice.

Outre le diagnostic lésionnel, le praticien doit trouver les causes de l’affection présentée lors de l’examen de la posture, du grip, de la technique, du mode d’entraînement et du matériel.

Le bilan de la technopathie comprend plusieurs thèmes : l’examen des conditions d’entrainement (nombre de séances hebdomadaires, sol, parcours), l’examen du matériel, de la posture, du grip (position du club dans la main gauche, callosités des mains) et de la technique du swing.

Blessures de l’épaule au golf

Le golf est un sport de lancer, l’épaule n’est pas épargnée lors de la pratique.

Deux types de pathologies peuvent être rencontrées chez le golfeur : celles que la pratique du golf induit et celles qu’elle révèle.

La biomécanique de l’épaule comprend plusieurs temps au cours du swing : l’adresse lorsque les épaules sont en adduction, le backswing avec une épaule droite qui va réaliser une abduction et se retrouver en élévation latérale à 45°, le downswing quand les deux épaules font le chemin inverse jusqu’à l’impact avec un club a l’horizontale puis le finish caractérisé par un mouvement combiné d’adduction et d’élévation antérieure variant de 90 130° selon le plan d’exécution du swing, et avec une composante de rotation externe pour l’épaule gauche.

Lésions osseuses

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Fracture de fatigue du premier arc costal gauche

Lésions tendineuses

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Conflit sous acromial

Il s’agit d’un conflit mécanique entre les tendons du sus-épineux et/ou du long biceps et la voûte acromiale formée par l’acromion et le ligament acromiocoracoïdien.

Il se produit lorsque le joueur ou la joueuse a une certaine propension à l’overswing.

A l’inflammation des tendons de la coiffe des rotateurs s’associe une atteinte de la bourse sous-acromiodeltoïdienne c’est à dire une bursite inflammatoire.

Les tests de Jobe et de Yocum déclenchent une douleur en cas de lésion du susépineux tandis que le palm up test est plus spécifique d’une atteinte du long biceps.

Outre le traitement médical et la rééducation, la correction du geste technique sera capitale pour éviter la récidive douloureuse : il est important de corriger l’abduction exagérée du bras droit, en haut du backswing.

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Le conflit antérieur

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Le conflit sous-acromial antéro-supérieur de l’épaule gauche

Lésions articulaires

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Arthropathie acromio-claviculaire

Lésions nerveuses

Les atteintes neurologiques de l’épaule du golfeur sont liées à une pathologie du follow-through.

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Compression du nerf circonflexe

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Lésion du nerf supra-scapulaire

Un backswing trop vertical, avec un coude droit qui ne reste pas pointé vers le sol et qui au contraire monte, une abduction de plus de 90° sont des facteurs favorisants.

La lésion se produit par une rétropulsion horizontale de l’épaule, associée à une rotation externe de l’articulation scapulohumérale.

L’adduction horizontale est le mouvement le plus nocif, c’est le geste du follow-through. Ce geste peut être exagéré quand le joueur cherche à sortir les mains le plus possible vers l’extérieur et à accompagner la balle le plus loin possible pour gagner de la longueur au drive.

Le traitement médical associe vitaminothérapie B et une rééducation analytique des muscles atteints. L’évolution sera suivie sur des examens cliniques répétés et des bilans électromyographiques. En l’absence de récupération, une neurolyse peut être pratiquée

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Lésion du nerf long thoracique

Le nerf du grand dentelé droit peut être étiré lors de la pratique du golf.

Le mécanisme lésionnel est microtraumatique. Il s’agit d’un étirement répétitif au cours du follow-through par combinaison d’un mouvement de la tête en rotation et en flexion, conjugué à une position du bras avec abaissement du moignon de l’épaule et adduction et élévation bras droit.

Lors du follow-through, le nerf du grand dentelé peut être étiré de plus de 10 % de longueur, et il va se développer une neurapraxie. 

L’arrêt du golf est indispensable, souvent mal accepté par les joueurs de haut niveau.

La reprise n’est autorisée qu’après récupération de la force musculaire par une rééducation analytique bien contrôlée du muscle grand dentelé et des autres stabilisateurs l’omoplate.

La récupération est plus ou moins longue selon la sévérité de l’atteinte.

La correction du défaut technique est indispensable dans les suites.

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Syndrome de la traversée thoraco-brachiale

Blessures du coude au golf

Les joueurs professionnels souffrent très peu du coude. A contrario, le joueur amateur se plaint de son coude.

Les épicondylalgies gauches sont les plus fréquentes. Elles sont exceptionnelles à droite.

Le golf-elbow est une pathologie plus fréquemment rencontrée chez les débutants, notamment chez les femmes, d’autant qu’elles présentent un cubitus valgus associé à une laxité articulaire importante.

Les femmes réalisent souvent un overswing pour augmenter la puissance de leur swing et malmènent ainsi leur rachis cervical bas, du fait d’une rotation exagérée de la ceinture scapulaire, qui va être responsable de dérangements intervertébraux.

Une main droite faible sur un plan de backswing plat, avec une technique où le retard des mains est préconisé, va contribuer à malmener le compartiment interne coude.

Par ailleurs, toute modification du grip va faire varier les composantes de pronosupination des deux avant-bras, et donc modifier les contraintes sur les tendons des épicondyliens et des épitrochléens.

Les contraintes pourront être majorées du fait : d’une crispation anormale des mains sur le club, d’une flexion exagérée des coudes en haut du backswing, associée à une cassure exagérée des poignets.

Lésions tendineuses

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Epicondylite médiale ou « golf-elbow »

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Blessures du poignet et de la main au golf

Le grip est le seul lien physique entre le corps et le club.

Les atteintes du poignet et de la main sont la première cause de douleur chez le joueur professionnel Avec près d’un tiers des joueurs qui déclare avoir présenté au cours de leur vie sportive une douleur de la main ou du poignet avec une nette prédominance pour le côté gauche. Chez les amateurs ces douleurs ne viennent qu’en 3e position.

La position de fonction du poignet correspondant au maximum d’efficacité des muscles fléchisseurs des doigts responsables de la préhension est une légère flexion avec une légère adduction du poignet. Les mains doivent se trouver en position basse à l’impact et en avant de la tête du club. Le grippe le plus efficace correspond à la position des 2 mains en pronation avec une pronation autour de 70° pour la main gauche et de 30° pour la main droite.

Les 3 modes les plus fréquents de préemption du club sont :

  • le grip superposé ou overlapping où les 2 mains sont entrecroisées avec l’auriculaire droit placé dans l’espace interdigital index-majeur gauche.
  • le grippe enchevêtré ou interlocking quand l’index gauche et l’auriculaire droit sont crochetés. C’est le grip utilisé par les joueurs à main large et aux doigts courts/ (Jack Niklaus)
  • le baseball grip, ou grip à 10 doigts, lorsque les doigts ne se chevauchent pas. C’est en règle générale celui des femmes et des enfants.
  • Le degré de pronosupination de chaque main va déterminer les grips : square, fort, faible, blake ou palm grip.

Lésions osseuses

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Fracture de l’hamulus de l’hamatum

La fracture de l’hamulus de l’hamatum peut être provoquée par le choc violent de l’extrémité du club lors d’un swing ou lorsque le joueur heurte le sol avec le fer.

Elle survient à gauche chez le droitier et inversement.

Cette fracture est très rarement reconnue au stade initial et le diagnostic « d’entorse » ou de « tendinite » est le plus souvent porté. Le diagnostic est donc souvent tardif, après plusieurs mois.

Pourtant la symptomatologie initiale est démonstrative et doit faire évoquer le diagnostic devant une douleur intense au bord ulnaire du poignet avec un gonflement éventuel.

La gêne est très importante imposant un arrêt de jeu.

Lésions tendineuses

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La rupture du premier interosseux dorsal

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Rupture du long extenseur du pouce

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La luxation du cubital postérieur (extenseur ulnaire du carpe)

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Lésions microtraumatiques des tendons

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Le syndrome du croisement

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La ténosynovite de Quervain

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La ténopériostite d’insertion des radiaux

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La ténosynovite des fléchisseurs

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Le yips : les dystonies de fonction et d’attitude

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Blessures thoraciques

La cage thoracique est le point fixe du levier lors du lancer.

Elle peut être surmenée lors du placement devant la balle lors de la montée du club où backswing, de la descente où downswing, de la phase finale ou finish.

L’exagération de la rotation du tronc virgule pour gagner de la puissance lors du swing, et la répétition du geste peuvent contribuer traumatiser la cage thoracique.

Les fractures de fatigue des côtes sont dues aux déformations de la cage thoracique au cours du swing, à la perte d’élasticité des cartilages costaux qui s’ossifient  en vieillissant.

Une côte présente une partie rigide près de la colonne vertébrale et une partie antérieure plus déformable et c’est la zone proche de de l’angle qui assure la connexion entre ces deux zones qui est critique.

Lésions osseuses

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Fractures de fatigue de côtes

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Les fractures de fatigue de l’hémithorax droit

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Les fractures de fatigue de l’hémithorax gauche

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Fractures de fatigue du sternum

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Les autres douleurs thoraciques du golfeur

Lésions tendino-musculaires

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La pathologie des muscles abdominaux

La paroi abdominale comporte en avant les 2 muscles grand droits qui s’insèrent sur les cinquièmes, 6e, 7e cartilage costaud et l’appendice xiphoïde et latéralement les obliques et le muscle transverse

Chez le golfeur ce sont les muscles obliques droit qui sont les plus souvent lésés Car lors de la rotation et du swing ce sont eux qui sont le plus sollicités.

Le début est souvent brutal même si la douleur est habituellement modérée.

L’échographie fait le diagnostic et permet de suivre l’évolution.

Blessures du dos et des lombes

Au départ, le tronc du joueur est fléchi de 20° essentiellement dans l’articulation coxo-fémorale et lombosacrée. Les muscles paravertébraux et abdominaux participe à la bonne statique de l’adresse.

Dans le backswing, le rachis cervical est le seul à rester pratiquement fixe.

Dans le finish le bassin, le rachis dorso-lombaire puis le rachis cervical se placent progressivement face à l’objectif.

La pathologie rachidienne déclenchée par le golf n’a rien de spécifique.

Deux populations sont particulièrement exposées : le très bon joueur par hyper sollicitation et le débutant dont les défauts techniques vont décompenser une pathologie discale préexistante.

L’enraidissement articulaire de la hanche va majorer le travail du rachis.

Les différents types de lombalgies :

  • Les lombalgies discales surviennent le plus souvent chez le débutant dont le swing brusque et asynchrone, est un coup frappé avec les bras et les épaules dans un angle trop vertical et descendant.
  • La lombalgie d’origine articulaire postérieure L4-15. L5-S1 droite apparaît chez des joueurs à stance trop large qui sont obligés de pratiquer une inflexion droite compensatrice du rachis.
  • Le syndrome de charnière dorsolombaire Siège le plus souvent à droite avec 2 formes : une forme aiguë qui apparaît à l’occasion d’un swing mal exécuté et bloqué sous forme d’une lombalgie aiguë sans attitude antalgique ou bien une forme chronique ou la répétition d’un défaut technique favorise l’apparition d’une douleur lombaire ou sacro-iliaque
  • La lombo-sacralgie elle parfois retrouvée chez les femmes qui exagèrent les mouvements de bassin pour augmenter la force de frappe de la balle avec une douleur qui siège dans la fesse partant de l’épine iliaque et descendant vers le grand trochanter.

Blessures de la cheville et du pied

Le swing n’est pas générateur de pathologie pour le pied et la cheville sauf à l’occasion de mouvements mal exécutés. La marche peut décompenser des affections préexistantes d’où l’importance d’un chaussage adéquat.

Lésions osseuses

Les fractures de fatigue surviennent volontiers sur la diaphyse des 2e, 3e, 4e métatarsiens.

La maladie de Haglund elle a été décrite par ce chirurgien autrichien qui établit le premier la corrélation entre la douleur postérieure du talon, l’anatomie de l’angle postero-supérieur du calcanéum et le port de chaussures à contrefort rigide.

Lésions tendineuses

Les tendinites externes de la cheville gauche, par répétition des mouvements de varus forcé sur l’arrière-pied responsable de microtraumatismes pour ligament collatéral externe de la cheville voire d’une laxité externe de la tibio tarsienne. Ces pathologies sont liées au swing.

La rupture du tendon d’Achille se produit surtout à gauche, dans la première partie du mouvement lors d’un transfert du poids du corps trop brusque et trop violent chez un sujet plutôt âgé.

Lésions articulaires

Les entorses des articulations de Chopart et de Lisfranc sont liées à un mauvais transfert du poids qui lors du finish peut entraîner une entorse du médio pied latéral.

La pathologie liée à la marche comportent : 

La marche avec des chaussures trop souples ou avec des bottes de golf on va favoriser l’apparition d’une enthésopathie de l’aponévrose plantaire sur le calcanéum entraînant une talalgie antéro-interne.

La pratique du golf sur des parcours vallonnés ou encore sur des links peut entraîner l’apparition d’une tendinite d’Achille d’autant plus si le joueur joue avec des chaussures dans les crampons arrière sont usés.

La pathologie liée au chaussage :

Le conflit dans la chaussure peut favoriser l’apparition d’une bursite en regard d’un hallux valgus, d’un quintus varus ou encore des hématomes sous ungueaux.

Lésions nerveuses

Le syndrome du canal Inter métatarsien elle liée à une bursite du 3e et parfois 2e et 4e espace Inter métatarsien, entraînant une brûlure irradiant vers les orteils.

Le pseudo-névrome de Morton survient sur le 3e et parfois 2e et 4e nerf plantaire digital comprimé par le ligament Inter métatarsien. Cette compression est favorisée par un affaissement de l’arche antérieure.

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Dr Philippe PAILLARD, spécialiste des membres inférieurs

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Les Docteurs Patrick Houvet et Philippe Paillard sont chirurgiens orthopédistes à Paris et en Île-de-France. Ils sont tous deux spécialistes en chirurgie du sport.

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Dr Patrick HOUVET, spécialiste des membres supérieurs

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